Jusqu’à
18 avril à 20h45 au théâtre de la violette dans le cadre du printemps du rire.
Coralie, Christian et Gonzague parviennent ensemble dans l’espace confiné d’un
lieu clos. On devine qu’ils sont morts mais cette situation , contrairement à
celle de huis clos de Sartre n’est pas aussi désespérante …car enfin, n’est-il
pas plus plausible qu’un tel enfer reste humain, dérisoire, pathétique,
inattendu, cocasse, comme tout ce qui touche à notre condition ? A travers nos
inquisitions réciproques et notre besoin de tuer le temps, comme dans un
compartiment de chemin de fer ou une salle d’attente l’enfer n’est-il pas avant
tout pavé de potins ?
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