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Ce samedi à 18h30 au stade Ernest Argelès de Blagnac, le Toulouse Olympique reçoit les Barrow Raiders, une semaine avant la grande finale de la League One.
Le TO a été bousculé comme rarement en championnat le week-end dernier, à Hunslet (12-16). Mais, au terme d’une fin de match haletante, les Olympiens sont parvenus à arracher cette victoire. Un succès acquis grâce au mental, sur lequel Sébastien PLANAS et ses coéquipiers pourront s’appuyer en cette fin de saison.
Barrow est l’équipe en forme de ce Super 8. Avec 6 succès en autant de matchs, les Raiders (« corsaires ») sont invaincus dans cette deuxième phase de League One. Pour ce dernier match de la phase régulière, ils voudront finir en beauté en s’offrant le leader incontesté de la compétition.
Les enjeux de cette confrontation
Pour Toulouse, il s’agit de l’ultime répétition avant le grand spectacle. La dernière chance pour les Bleus et Blancs de profiter des conditions réelles d’un match pour se préparer à la finale, qui voudront également clore ce championnat sans n’avoir perdu le moindre match. Il y aura une motivation supplémentaire sur ce match côté Toulousain.
Mais pour les Raiders, c’est un ticket pour la première finale d’accession qui se joue. En concurrence avec Rochdale qui reçoit Hunslet dimanche, les joueurs de CRAREY doivent l’emporter aux Ramiers pour ne pas être dépendants du résultat des Hornets.
La dernière fois
C’était au Craven Park de Barrow en mai dernier, et le TO s’était imposé avec autorité (16-44). Les Toulousains, privés de 5 « titulaires » habituels, avaient totalement maitrisé leur sujet durant plus d’une heure avant de se relâcher quelque peu, une fois la victoire acquise. Toutefois, ce devrait être cette fois une toute autre équipe de Barrow qui voudra prendre sa revanche et poursuivre ainsi sur son incroyable montée en puissance.
Le groupe Toulousain
Victime d’une luxation de l’épaule à l’entraînement la semaine dernière, Arthur GONZALEZ-TRIQUE rejoint Andrew BENTLEY (saison terminée) à l’infirmerie. De son côté, le staff Olympien ne préfère pas prendre de risque avec Rhys CURRAN (toujours en délicatesse avec son mollet) et le laisse au repos.
En revanche, Sylvain HOULES pourra s’appuyer sur les retours de Bastien CANET, de Kalausa Junior LEHA et de Kane BENTLEY, qui remplacent numériquement les jeunes Etienne FERRET, Cédric MAZARS et Gavin MARGUERITE.
photo : Kane BENTLEY fait son retour à la compétition – © Jean AUDOUIT
