D'après les résultats de l'autopsie de Patricia Bouchon, le corps de la joggeuse de Bouloc portait des traces de coups et de violence, mais n'a pas été violée.
L'autopsie du corps de Patricia Bouchon a confirmé que la joggeuse de Bouloc a subit des violences mais n'a pas été violée. Selon Europe 1 et la Dépêche, Patricia Bouchon porte "des traces de coups au visage et aurait été étranglée" affirme les médecins légistes aux deux médias. Pour autant, elle n'aurait pas subi de violence sexuelle. La joggeuse disparue, il y a un mois à Bouloc en Haute Garonne, a été retrouvé ce mardi dans le village de Villemantier.
Patricia Bouchon est donc décédée des suites de "coups et de violences". Mais, la joggeuse de Bouloc n'aurait pas été violée selon les médecins légistes. Malgré la découverte du corps tardivement, les enquêteurs affirment sur Europe 1 que cette découverte fera rebondir l'enquête sur la disparition de la joggeuse. En effet, "un corps ça parle, ça donne un coup d'accélérateur à l'enquête. On va savoir quand elle est morte, comment elle est morte et des indices laissés par l'auteur potentiel, des faits vont surgir", a assuré un enquêteur sur Europe 1. Les investigations pour lever le mystère autour de la disparition de Patricia Bouchon sont encore suspendues aux résultats des analyses sur le corps de la joggeuse de Bouloc.
Patricia Bouchon, mère de famille de 49 ans, travaillait dans un cabinet d'avocats de Toulouse. C'est en quittant sa maison à Bouloc pour faire un jogging, vers 4h30 le lundi 14 février, qu'elle a disparu. La joggeuse a été retrouvée mardi soir par un garde champêtre à 15 km de Bouloc, dans le village de Villemantier. Avant hier, l'autopsie avait révélé que le corps retrouvé aux alentours de Bouloc était bien celui de Patricia Bouchon. Mais, désavouer les informations de la Dépêche, qui mettait en avant la suspicion d'un délinquant sexuel dans le meurtre de Patricia Bouchon.
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