Ouverture des candidatures pour le 51e concours internatinal de Chant de Toulouse. Inscrivez-vous pour faire suite à la lauréate de 2014, Marion Lebègue.
La 51e édition du Concours international de chant de Toulouse s'ouvrira le 5 septembre 2016 et sera présidée par Eva Wagner-Pasquier, co-directrice émérite du Festival de Bayreuth de 2008 à 2015, et consultante du Festival de Bayreuth. Les candidatures sont ouvertes dès à présent et jusqu'au 15 mai 2016. La dernière édition en 2014 avait retenu 141 candidats sur 334 candidatures, de 31 nationalités différentes.
Depuis sa première édition en 1954, le Concours international de chant de Toulouse a vu passer quelques-uns des plus grands noms de l’art lyrique. Véritable tremplin pour la future carrière des candidats, il réunit par ailleurs un jury constitué de directeurs d’opéra, directeurs artistiques ou responsables des distributions au sein de certaines des plus prestigieuses maisons du monde, tous susceptibles de proposer des engagements aux jeunes artistes.
Le Concours international de chant de Toulouse est ouvert aux chanteuses et aux chanteurs, de toutes nationalités, âgés de 18 à 32 ans révolus.
Une lauréate au sommet
Marion Lebègue, Premier grand prix femme en 2014, chante actuellement, et pour la première fois à l'Opéra national de Paris, le rôle d'Inès dans Le Trouvère de Verdi, aux côtés d'Anna Netrebko, Ludovic Tézier et Marcelo Alvarez. Quant à David Junghoon Kim, Premier grand prix homme et Prix du public en 2014, débute cette saison au Covent Garden de Londres avec Il Tabarro de Puccini, dans le cadre du Jette Parker Young Artists Programme destiné à soutenir les jeunes chanteurs d'opéra.
Les épreuves ouvertes au public seront :
DEMI-FINALE : 8 septembre à 19h (entrée libre)
FINALE : 10 septembre à 20h avec l’Orchestre national du Capitole
Informations et formulaire de candidature sur www.chant.toulouse.fr
Contact CIC : +33 (0)562 276 682 – chant.toulouse@capitole.toulouse.fr
Photo : Marion Lebègue, mezzo-soprano,Premier grand prix femme, 2014
crédit photo Patrice Nin