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La Cinémathèque de Toulouse rend hommage à l'une des actrices majeures du cinéma français Romy Schneider. Pendant un mois, rendez-vous avec de nombreuses projections.
Elle a tourné avec les plus grands : Cluzot, Tavernier, Miller, Deray, Sautet, Visconti ou encore Welles. Durant le mois de mai, la Cinémathèque de Toulouse rend donc hommage à Romy Schneider avec plusieurs projections de films majeurs de la carrière de l'actrice. De "Max et les Ferraileurs" à "Le Procès", en passant par "Garde à vie" ou "La Piscine", on pourra (re)découvrir l'une des filmographie les plus excitantes du cinéma français.
Romy Schneider demeure à jamais une icône du cinéma français. Belle, avec ce petit accent qui ajoutait au charme. Elle est la seule star étrangère (naturalisée française) du cinéma français à être aussi populaire. Elle est notre Marilyn Monroe. Un talent, une image et un destin brisé. La gloire, une vie sentimentale compliquée et une mort tragique à seulement quarante-trois ans.
Séance – Rencontre autour de L'Enfer d'Henri-Georges Cluzot
Le 3 mai, la Cinémathèque de Toulouse ouvre sa thématique avec la projection du film inachevé "L'enfer" avec une rencontre avec Serge Bromberg, auteur d'un documentaire autour de ce projet avorté.
En 1964, Clouzot lance le tournage de L’Enfer, un film ambitieux sur le thème de la jalousie paranoïaque. Clouzot veut révolutionner le cinéma. Rendre cinématographiquement, formellement, la folie. Le tournage s’arrête quelques semaines après avoir débuté. Reggiani flanche le premier. Clouzot plie, le cœur serré par un infarctus. Le film restera inachevé. Restent quelques images que l’on dit extraordinaires, mais qui resteront invisibles, et naît la légende d’un film fou. Serge Bromberg exhume ces images qui dépassent la légende et réalise, avec Ruxandra Medrea, un documentaire sur l’histoire du film, son tournage, son naufrage. Une histoire de cinéma.
En 1964, Clouzot lance le tournage de L’Enfer, un film ambitieux sur le thème de la jalousie paranoïaque. Clouzot veut révolutionner le cinéma. Rendre cinématographiquement, formellement, la folie. Le tournage s’arrête quelques semaines après avoir débuté. Reggiani flanche le premier. Clouzot plie, le cœur serré par un infarctus. Le film restera inachevé. Restent quelques images que l’on dit extraordinaires, mais qui resteront invisibles, et naît la légende d’un film fou. Serge Bromberg exhume ces images qui dépassent la légende et réalise, avec Ruxandra Medrea, un documentaire sur l’histoire du film, son tournage, son naufrage. Une histoire de cinéma.
